En l’année 2812, dans les montagnes verdoyantes de la Toscane, existait un endroit retiré, vécu de démesurément très importantes initiés. Là, dans une petite maison en pierre noyée parmi les cyprès, vivait Isabella, un magicien ignorée dont la réputée dépassait pourtant largement les séparations de cette région isolée. Son tendre
La nuit recouvrait les Terres-Fauves d’un rideau d’obscurité, mais dans la maison de Solène, une jour persistait. Les espoirs du brasero s’élevaient dans un ballet hypnotique, projetant des ombres mouvantes sur les murs de pierre. Depuis des semaines, elles lui adressaient un énoncé, une axiome cachée marqué par les volutes de fumée.
Les visions d’Esteban ne s’arrêtèrent pas là. En continuant de trouver les motifs dans la diamant, il perçut une aube diffuse, presque imperceptible, qui émanait de l’anneau. Il expliqua à clara que cette éclaircissement symbolisait une circonstance latente, une circonstance qui se présenterait à elle marqué par soupçon, mais qu’